par Dans toutes les villes elfes on trouve un marché plus ou moins important selon les taxes commerciales en vigueur dans la cité. Un marché elfe de quelques grandeur qu'il soit c'est d'abord l'abordage des narines par de multiples odeurs délicieuse, du poisson grillé aux épices séchés, des viandes bouillies en passant par les légumes cuit a la vapeurs le tout associé avec les autres senteur de la forêt.
Puis vient l'émerveillement des yeux. Les spectacle de jongleur, les tours de magie, les mets délicieux qui cuisent au feux. et enfin se sont les oreilles qui sont sollicité, partout la musique, les rires, les chants, les cris. Un marché Elfe c'est une grande brassé d'émotions résumé en un mot : Rêve.
Car c'est la le propre des marchés elfe. On y viens on rêve, on rit, on pleur, et une fois qu'on l'a quitté on se demande si on n'a tout simplement pas rêvé. Et on pris d'une douce mélancolie qui ne se dissipe vraiment que lorsque l'on y retourne.
Celui de Malinalda est exceptionnelle. Il occupe les trois quarts de la ville basse et on y trouve des objets aussi insolite que des peinture des citée Drows au sculpture du palais d'été de la Reine-Déesse des elfes. Mais toutes ses festivité ainsi que le joyeux bazar qui régnait ici n'arrivaient pas a dissiper les sombres inquiétude d'une grande silhouette drapée et encapuchonnée de vert sombre.
Eliandir ruminait de sombre pensées. Trois choses le tourmenté, premièrement pourquoi la reine avait-elle besoin de 500archers, pour faire la guerre? Non impossible. Deuxièmement est-ce que les rumeurs comme quoi les pyros montaient une insurrection était vrai? Si oui est-ce qu'ils accepteraient de l'aider pour reprendre possession de la forêt ancestral car voila ou été le vrai problème : Le peuple elfique ne pouvait acceptait de se laissait tenir en laisse par une dictature sanguinaire en prenant en otage leurs plus profondes croyances.
Mais Eliandir savait où trouver une personne qui pourrait lui donner les réponses à ses questions. Il prit une petite ruelle crasseuse et frappa trois coups a une porte en bois noir. Un loquet fu tirer et deux yeux l'observèrent à travers une fente dans la porte, puis un verrou cliqueta et la porte s'ouvrit sur une pièce mal éclairé et sale. Un coin mal famé, repaire de rôdeurs et de bandits situés a la lisière de la ville.
Eliandir entra et enleva sa capuche, il s'approcha d'une table au fond et s'essaya. Assit en face de lui, adossée au mur, une ombre le regardait.
-Elena j'ai des informations à te demander.
-Je t'écoute Eliandir.
-Je veut savoir si la révolte pyros est une réalité et je veux savoir aussi qui pourrais m'aider à allez faire un tour du coté de ... hum ... De Caur Loté.
-Hum ... Ça te couterai deux cents. Cents pour les infos et cents pour mon silence.
Eliandir posa une bourse pleine sur la table et la poussa devant lui.
-La révolte Pyros n'en est qu'au stade de cocon, mais c'est sûre qu'il y aura du grabuge un peu partout dans Arael a cause d'eux et des Calypsos. et je connais peut être une personne qui pourrait t'aider pour ta petite révolution personnelle.
-Dit moi tout Elena.
-Et bien, un certain Shigeru pourrait t'aider. Il veut rendre la liberté a son peuple. Un peu plus mégalo que toi mais vous devriez vous entendre.
-Et où pourrais-je le trouver?
-Je te conseille d'aller voir du coté des Ururs voir certaines de te vieilles connaissance la bas qui pourrait t'aider.
-Merci Elena tu me sauve la vie.
-C'est en souvenir du bon vieux temps Eliandir.
Eliandir se leva et la salua. il traversa l'auberge crasseuse puis il remonta le marché ou il se laissa prendre un temps par l'euphorie qui y régnait puis il remonta la rue principale, rentra dans le quartier riche, et rentra dans sa villa. A l'intérieur il se chargea d'écrire une lettre qu'il envoya a un de ses amis Urur par pigeon puis il prépara ses afaires pour le long voyage qu'il s'appétait a effectuer . . .
Puis vient l'émerveillement des yeux. Les spectacle de jongleur, les tours de magie, les mets délicieux qui cuisent au feux. et enfin se sont les oreilles qui sont sollicité, partout la musique, les rires, les chants, les cris. Un marché Elfe c'est une grande brassé d'émotions résumé en un mot : Rêve.
Car c'est la le propre des marchés elfe. On y viens on rêve, on rit, on pleur, et une fois qu'on l'a quitté on se demande si on n'a tout simplement pas rêvé. Et on pris d'une douce mélancolie qui ne se dissipe vraiment que lorsque l'on y retourne.
Celui de Malinalda est exceptionnelle. Il occupe les trois quarts de la ville basse et on y trouve des objets aussi insolite que des peinture des citée Drows au sculpture du palais d'été de la Reine-Déesse des elfes. Mais toutes ses festivité ainsi que le joyeux bazar qui régnait ici n'arrivaient pas a dissiper les sombres inquiétude d'une grande silhouette drapée et encapuchonnée de vert sombre.
Eliandir ruminait de sombre pensées. Trois choses le tourmenté, premièrement pourquoi la reine avait-elle besoin de 500archers, pour faire la guerre? Non impossible. Deuxièmement est-ce que les rumeurs comme quoi les pyros montaient une insurrection était vrai? Si oui est-ce qu'ils accepteraient de l'aider pour reprendre possession de la forêt ancestral car voila ou été le vrai problème : Le peuple elfique ne pouvait acceptait de se laissait tenir en laisse par une dictature sanguinaire en prenant en otage leurs plus profondes croyances.
Mais Eliandir savait où trouver une personne qui pourrait lui donner les réponses à ses questions. Il prit une petite ruelle crasseuse et frappa trois coups a une porte en bois noir. Un loquet fu tirer et deux yeux l'observèrent à travers une fente dans la porte, puis un verrou cliqueta et la porte s'ouvrit sur une pièce mal éclairé et sale. Un coin mal famé, repaire de rôdeurs et de bandits situés a la lisière de la ville.
Eliandir entra et enleva sa capuche, il s'approcha d'une table au fond et s'essaya. Assit en face de lui, adossée au mur, une ombre le regardait.
-Elena j'ai des informations à te demander.
-Je t'écoute Eliandir.
-Je veut savoir si la révolte pyros est une réalité et je veux savoir aussi qui pourrais m'aider à allez faire un tour du coté de ... hum ... De Caur Loté.
-Hum ... Ça te couterai deux cents. Cents pour les infos et cents pour mon silence.
Eliandir posa une bourse pleine sur la table et la poussa devant lui.
-La révolte Pyros n'en est qu'au stade de cocon, mais c'est sûre qu'il y aura du grabuge un peu partout dans Arael a cause d'eux et des Calypsos. et je connais peut être une personne qui pourrait t'aider pour ta petite révolution personnelle.
-Dit moi tout Elena.
-Et bien, un certain Shigeru pourrait t'aider. Il veut rendre la liberté a son peuple. Un peu plus mégalo que toi mais vous devriez vous entendre.
-Et où pourrais-je le trouver?
-Je te conseille d'aller voir du coté des Ururs voir certaines de te vieilles connaissance la bas qui pourrait t'aider.
-Merci Elena tu me sauve la vie.
-C'est en souvenir du bon vieux temps Eliandir.
Eliandir se leva et la salua. il traversa l'auberge crasseuse puis il remonta le marché ou il se laissa prendre un temps par l'euphorie qui y régnait puis il remonta la rue principale, rentra dans le quartier riche, et rentra dans sa villa. A l'intérieur il se chargea d'écrire une lettre qu'il envoya a un de ses amis Urur par pigeon puis il prépara ses afaires pour le long voyage qu'il s'appétait a effectuer . . .
